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Des choses à connaitre !
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29 octobre 2013

Le concept de l'homme hors-sol

 

Guy : Le concept d'homme hors sol : l'homme hors sol c'est le citadin, qui ne voit pas de microbes, avec des mains de bureaucrate. Comme le cochon ou le poulet hors sol, il n'est capable de survivre ni dans la basse cour, ni dans la nature ... Il a perdu toute sa virilité et toute sa consistance d'Homme et d'homme. La femme hors sol existe aussi, elle se définit de la même façon que l'homme hors sol.

 

Paul : L'humain (ne plus utiliser le mot homme ou femme quand on parle des deux indifféremment) hors sol n'est pas nécessairement un citadin. il peut exister un humain hors sol bien qu'étant hors de la ville, mais qui est devenu étranger à l'environnement naturel dans lequel il est : exemple, l'humain de la campagne qui se déplace tout le temps avec sa voiture, ne se rend même plus compte de son voisinage avec les animaux sauvages, ou même simplement domestiques.

Au même titre que le citadin, il est devenu hors sol par son impossibilité à vivre et évoluer indépendamment des systèmes, incapable d'exprimer et d'adopter une attitude de héros ou d'héroïne (viril), il est avili par son absence de réaction à l'envahissement de son espace d'expression d'humain.

 

Guy : excuse moi, mais tu n'y es pas du tout, l'homme des campagnes n'est pas sauvage bien entendu, mais il est capable de saigner une bête, de la dépecer, de soulever des charges sans palan ou transpallette électrique !!! On peut comparer l'homme des campagnes à l'animal de basse cour et l'homme des villes au cochon hors sol. Lorsque tu maîtrises mal un concept, accepte mes hypothèses s'il te plaît. Tu pourras traduire cette conversation en anglais et allemand ?

 

 

Paul : nonobstant ton incapacité à prendre une réponse pour mieux progresser.

il y a des hommes des campagnes qui ont une vie à l'instar de celle de citadins. Les élevages de porcs hors sol sont dans les campagnes, pas dans les villes. Le lieu n'y est donc pour rien, au contraire.

 

Guy : pour l'affaire de l'homme hors sol, j'ai l'impression de montrer la lune, et que tu regardes mon doigt. Une fois de plus Paul, comprends le fond de ma pensée et ne relève pas toutes les imperfections de la forme. Oui il peut y avoir un homme hors sol à la campagne, oui les élevages de porc hors sol sont effectués à la campagne ... Globalement il y a usine à poules, poule d'usine, villes et homme des villes, ferme, homme des fermes et poules des fermes, poules sauvages et hommes libres ... Pour le fond je résume, pour la forme encore une erreur, je parlais des cochons et maintenant des poules ;-)

La adaptation de l'homme se situe à 2 niveaux qui n'ont rien à voir : adaptation d'un homme à une situation et adaptation de l'Homme, adaptation génétique sur plusieurs générations ... Evolution de l'espèce.

Et pour ton histoire de blonde, vive les habits et coupes homologués par l'état (comme en Corée du Nord !). Mais je n'ai pas envie de taper encore sur les mêmes ! ;-)

 

Paul : nos échanges écrits n'arrivent pas à garder la dynamique de nos discussions.

ouvre un fichier partagé google si tu sais comment faire

en plus il y a plusieurs sujets combinés qu'il faudrait séparer.

 

Guy : moi je trouve ça bien, c'est cool et facile à entretenir ! Les plusieurs sujets mêlés ne dérangeront pas le lecteur, et puisque nos échanges se suivent en remontant, je pense y transcrire dans un livre démarrant de la fin. Ne me dis pas que tu abandonnes !

 

Paul : abandonner ? Je n'ai jamais aimé ce verbe, que ce soit dans son sens de renoncer, de quitter ou de se laisser aller. Avec le Respect, la notion de l'Effort et un de mes deux principes de vie. Ce sont ces deux qualités que je cherche chez tout humain que je rencontre. Elles sont les deux éléments minimum nécessaires pour une vie en société où l'humain se réalise en tant que constructeur. Respect des autres tels qu'ils sont, de leur fait ou non. Notion de l'effort sans laquelle l'espèce ne peut que disparaître.

Oui, pour mêler les sujet. Des différences qui se conjuguent naît l'émulation. Mais moi je souhaite déranger le lecteur. Si c'est pour le bercer de ce qu'il sait déjà ou emporter son accord : Non. "On ne progresse que dans l'adversité" (Etienne Chouard). J'écris pour faire savoir et faire agir. Si le lecteur n'est pas conduit à agir, c'est peine perdue.

 

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